Post crash

Post crash

Il y a eu le bug. Le splash. Le boum ! Le gloups ! Le vlan ça coince. Le bouh…

Il y a eu le Oh, tout est perdu ! Il y a eu la contrariété et le pragmatisme. Il y a eu les pensées rudes, les mots moches, la colère et la rage de voir son travail et celui d’André « Manitou » ruiné. La contrariété, évidemment, et ce curieux sentiment d’impuissance qui conduit à faire avec l’accident.

Les contenus de deux de mes trois sites ont été perdus dans les limbes de l’Internet par un hébergeur dont je tairai le nom.

Il y a eu le noeud à la gorge. Le C’est la rentrée, j’ai mille autres choses à faire que réparer les dégâts causés par une équipe d’amateurs qui se prennent pour des pros. Il a eu les mâchoires tendues la nuit. Le jour. La dent fatiguée qui s’est remise à tirailler dans les os. Les yeux creusés dès le matin. Une tête fatiguée malgré le soleil et la bonne énergie glanée au fil d’un été riche.

Il y a eu tout ça et d’autres choses encore…

Et puis, André et moi, nous avons réparé. Remis sur pied. Tenté des trucs. Ajusté des bazars. Essayé de faire en sorte que, rapidement, l’accident du Net disparaisse pour laisser de nouvelles traces. Un site « rédaction, conseil, formation » rénové, ses contenus augmentés. Le Journal de la moderne tyrannie — 7 ans de travail ! —heureusement préservé chez un autre hébergeur. Et ce site-ci, en cours de rattrapage, avec un nouveau format. Et la remise en ligne, petit à petit, des contenus initiaux sauvegardés par ailleurs, plus les prochains qui agrandiront l’espace de lecture qui s’offre à vous.

Tout ça, alors que c’est la rentrée, qu’André a réparé je ne sais combien de sites dont il assure la technique, et que je cumule, comme toujours, mes casquettes et mes fonctions.

Bref ! Tout est possible et ce crash de rentrée finirait presque par être salutaire. Étonnant, non ?

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